A PROPOS DES CONTRIBUTIONS MUSICALES

copyright Lenka Rajčanová
Peter Machajdík est un compositeur et artiste sonore né en 1961 à Bratislava (l'ancienne Tchécoslovaquie)
Son œuvre a une dimension éthique, morale et humaine, en rejetant et condamnant la xénophobie, le racisme et l'extrémisme.

En 1992,
il s'établit plusieurs années à Berlin grâce à une invitation du DAAD (Deutscher Akademischer Austauschdienst)
En 1999, il a été le compositeur en résidence de Schloss Wiepersdorf, à l'invitation de fondation Stiftung KulturFonds Berlin
En 2003, il réside que compositeur en résidence à Worpswede, à l'invitation de Basse-Saxe Ministère de la Science et de la Culture
En 2004, il a été le compositeur en résidence de Kunsthaus Lukas à Ahrenshoop, à l'invitation de fondation Stiftung KulturFonds Berlin
En 2011, il réside que compositeur en résidence à Prague, à l'invitation du Fonds international de Visegrád
En 2013, il a été le compositeur en résidence à Judenburg, à l'invitation de la municipalité de Judenburg, Styrie, Autriche


1988 - 1er prix au Concours international de musique électroacoustique Luigi Russolo à Varese (Italie)
2005 - Prix Ján Levoslav Bella de Composition musicale (Slovaquie)


Bratislava-born Peter Machajdík is a composer of a wide range of chamber, orchestral, electronic and multimedia works. His music has been performed in various venues across Europe, America, and Asia, and has been featured in festivals such as Inventionen in Berlin, New Work in Calgary, Early Music Festival in Boston, LakeComo Festival, Nuovi Spazi Musicali in Rome, Young Euro Classic in Berlin, Hörgänge at the Konzerthaus in Vienna, Audio Art Festival in Cracow, Sound City Days, Melos-Ethos Festival, and the Bratislava Music Festival. He has worked with orchestras and ensembles such as the Janáček Philharmonic Orchestra, the I.J.Paderewski State Philharmonic Orchestra, Berg Orchestra, the Slovak Chamber Orchestra, the Slovak Radio Symphony Orchestra, Camerata Europea, the Lugansk Symphony Orchestra, Cluster Ensemble, Quasars Ensemble, Mucha Quartet, Ensemble Ricercata, Arte Quartett, and soloists such as harpists Floraleda Sacchi and Klára Bábel, clarinetist Guido Arbonelli, organists Carson Cooman and David di Fiore, cellists John Alex Heley, Piero Salvatori and Jozef Lupták, harpsichordist Elina Mustonen, and accordionist Boris Lenko to name just a few. He has also worked with David Moss, Nicolas Collins, Malcolm Goldstein, Dietmar Diesner, and the rock singer Jon Anderson. He has composed scores for feature films and documentaries, theatre and radio plays. Current projects include commissions from the Sacred Music Festival, Ensemble Metamorphosis, violin virtuoso Milan Paľa, as well as a commission to create a sound-based artwork for the Belianska Cave in the High Tatra mountains. Once one of the central figures in the avant-garde and contemporary music scene in former Czechoslovakia for over 25 years, Peter Machajdík has been awarded a 1992 DAAD artist residency in Berlin, a 2011 International Visegrad Fund individual artist grant, and the Ján Levoslav Bella Composition Prize. His œuvre, often hailed as soothing, has a human, moral and ethical dimension, rejecting and condemming xenophobia, racism and extremism.
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leradiologue est un créateur de sons avec le projet "notvtoday", mutation bâtarde entre nuées cristallines, rythmes secs et claustrophobie aérée. Il a sorti deux albums. Plus d'informations ici :
http://tbbf.eu/notvtoday-and-maybe-tomorrow-too/ 
http://tbbf.eu/amnesie-selective-notvtoday/

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Ged se définit comme illustrateur sonore ou encore peintre musical.  Il construit des paysages musicaux.  Après avoir participé à plusieurs groupes, Ged a ressenti l'envie de se lancer dans des territoires inconnus, vierges et encore plus reculés...  L'expérimentation, l'improvisation, la répétition, les ambiances sont devenues des évidences dans sa musique...  A partir de textes, d'impressions, de collaborations, il emmène l'auditeur dans ses contrées musicales, dans ses paysages sonores psychédéliques qui sont définis autant par le post-rock que l'expérimental ou encore le drone...    http://gedberliner.bandcamp.com/     https://www.facebook.com/ged.berliner'  

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 Christophe Bailleau, né en France en 1965. Vit et travaille en Belgique, à Huy, depuis 1989.
Il développe depuis plus de dix ans un projet musical atypique. Ses composition reposent sur des sources acoustiques (guitare, percussions, bruits de voix) triturées et mélangées à des sons concrets et domestiques. Il conçoit ainsi un jeu basé sur l'attente, le silence et la tension orageuse.
Depuis 2004, ses compostions sont éditées sur différents labels (Le cri de la Harpe, Stilll, Carte postale, Eglantine, Annexia, Fenetre records, Soundscaping, Optical sound, …Sacred Phrases, Time release sound…).Il réalise aussi des créations radiophoniques. Enfin, il réalise des courts métrages intrigants et poétiques, enregistrant des moments perdus, avant ou après une action. Un dvd de ses courts films d'avant 2008 est édité par 68/70 (Bruxelles), et ces mêmes films ont été montrés dans de nombreux festival européens.
Ses vidéos sont comme des incursions non identifiées dans nos jours et nos nuits ; elles nous attirent dans leur souci du détail singulier, dans leur noirceur épaisse comme dans leur lumière vibrante. A l'occasion, on peut croiser des personnages muets, à la fois proches et distants, qui parcourent les habitats et les paysages d'une nature semi-sauvage, des présences à la fois fantomatiques et indicatrices d'ouvroirs d'autres images mentales.
Guidé par l'exploration des sensations et des intuitions, les bandes-son à base de traitements électroniques, de piano, de guitare, de voix fugitives et de field-recordings déterminent sans jamais le clôturer le sens d'un étrange récit.
Christophe Bailleau fait désormais partie de 48 cameras et de Pastoral avec Philippe Franck. Il joue régulièrement avec amute, silencio, didié nietzsche…
Actuellement Christophe commence la production de son premier moyen métrage : L’oiseau nerveux.

Christophe Bailleau sur Facebook
Ses vidéos

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Jhonnie Kratong est né en 1975 à Kaliningrad (Russie). Musicien et ingénieur du son il est le co-fondateur de Romowe Rikoito et Kratong.
En tant qu’ingénieur du son il travaille avec divers groupes dans des projets internationaux et locaux.
En tant que musicien il a participé à de nombreux festivals tels que Wave Gothic Treffen (Allemagne), Wroclaw Industrial Festival (Pologne), Menuo Juodaragis (Lituanie) et bien d’autres.
Kratong a composé des musiques pour des jeux informatiques et des musées. Ses goûts musicaux l’entraînent de la musique folk sombre à l'électronique expérimentale. Ses recherches principales l’amènent à la transformation des sons naturels (field recordings) qu’il mélange à de la musique moderne industrielle afin de donner naissance à des formes nouvelles dans son alambic d’alchimiste.
Il a déjà été impliqué dans le projet numéro 1 du blog, semaine # 28
© Inga Inges
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Dylan Waller is a composer, a musician, a singer and a poet. He is currently looking for a label to handle hardcopy & digital release(s) for an album (almost ready).Thank you for your interest.

More information on his web site or his Facebook page.

More videos and songs from Dylan on his Youtube channel.



"I look for the connective tissue behind the fluidity of phenomena.  The sparks, embers, and ashes of ephemera often provoke a sound, and I try to transcribe it on whatever instrument is at hand.  I'm a writer and musician, born in Iowa, now working in New England.  I've travelled 24 countries in recent years singing, playing, and reciting my work.  Travelling provides a sort of investigation of the Gaia hypothesis up close:  given experiential and cultural differences, I've found insurmountable evidence of how closely all human beings are related." Dylan Waller



Dylan Waller est compositeur, musicien, chanteur et poète.

Il cherche actuellement un label pour réaliser un album (déjà presque prêt) à la fois sur un support physique et en numérique téléchargeable. A bon entendeur. Merci.

Plus d'informations sur son site ou sur sa page Facebook.

Davantage de vidéos de Dylan sur sa chaine Youtube.



"Je cherche le tissu conjonctif derrière la fluidité des phénomènes. Les étincelles, les braises et les cendres de l'éphémère provoquent souvent un son, et j'essaie de le transcrire sur n'importe quel instrument à portée de ma main. Je suis un écrivain et musicien, né dans l'Iowa, qui travaille maintenant en Nouvelle-Angleterre. J'ai voyagé dans 24 pays ces dernières années pour chanter mes chansons, jouer ma musique, et réciter mes textes. Voyager offre une sorte d'enquête précise sur l'hypothèse Gaïa : étant donné les différences culturelles et l'expérience, j'ai trouvé des preuves indubitables qui confirment à quel point tous les êtres humains sont liés." Dylan Waller

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C'est à l’orée des années 80, que Didier Soufnenguel, alias Didié Nietzsche, dégoûté par les méthodes classiques d’apprentissage de la musique, se fait offrir pour Noël une boîte « 100 expériences électroniques ». Il commence aussitôt à bricoler ses propres instruments et effets, à partir de cellules photoélectriques, de métronomes électroniques, de cordes de guitares tendues sur des caisses métalliques, etc. Les parties rythmiques sont obtenues grâce aux parasites provoqués par une machine à calculer sur une radio FM. Après quelques concerts dans le sud de la Belgique, Didié déménage à Huy où il rencontre Jules Nerbard a.k.a Shri Nerbard Petit Jr. (dont un morceau est proposé à l’écoute sur ce blog), qui devient le deuxième membre permanent du groupe.
Radio Prague participe alors activement au mouvement « mail art », au travers de cassette-labels tels qu’Insane Music, Home Produkt, The Sound of Pig, etc.  
Radio Prague fait ensuite l’acquisition d’instruments plus conventionnels, accueille de nouveaux membres, et prend une orientation plus commerciale (Electro Body Music) qui (hélas ?) n’aboutira pas vraiment : un album enregistré mais jamais distribué. 
Didié s’investit alors dans d’autres projets: 
Nietzsche, électro-punk neurasthénique (album Dieu est mort, nous sommes Nietzsche
Participation aux concerts pour 100 guitares de Rhys Chatham
Silicon Ballet, projet utopique, dont le premier EP a été composé et enregistré en quinze jours (été 2011) dans une église, par des musiciens qui jusqu'alors ne se connaissaient pas.

Début 2013, Didié participe au mixage de l'album we could bring you silk in may une collaboration entre 48 Cameras et Scanner. Des liens se créent, et Didié est finalement intégré au groupe comme membre à part entière.

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 « kévin paul cahay est un petit con arrogant à l’ego surdimensionné, portant sa guitare plus haute que les Beatles et qui est passionné de doo wop. Il possède un groupe de rock n' roll nommé paul garvin blues experience et un projet solo nommé tomorrow massacre, étant intéressé par un grand nombre de genres variés et différents cela coulait de source qu'il participe à cet ambitieux projet. Vive Johnny Cash, la bière, les filles et la bière aussi. »

kévin paul cahay


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Arnold Rapido  se définit comme bricoleur de chanson. Il vit à Rouen (France).
Depuis 2008 il produit lui-même ses albums qui sont déjà au nombre de 4.
2008 : Scalextrix 1er album autoproduit
2009 : Les aventures extraordinaires de Mr Noutous 2ème album autoproduit
2010 : Les lucioles 3ème album autoproduit
2011 : "Les Lucioles" EP numérique (Discograph)
2011 : Participation à la compilation "En Français dans le texte" (Discograph)
2013 : Quand on s'ra des grands  4ème album autoproduit. Les morceaux proposés à l'écoute sur ce blog sont extraits de cet album.
Vous pouvez suivre l’actualité d’Arnold en vous connectant sur sa page facebook


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Compositeur multi instrumentiste, Frédéric Perroux multiplie les rencontres avec des artistes d'horizons différents : théâtre, danse contemporaine, arts plastiques, cinéma, musique, autant d'occasions d'échanger et de rechercher l'osmose via les différents univers artistiques.

Au cours de son parcours, il participe à des stages internationaux au Maroc et au Mali afin de compléter sa formation professionnelle.

En 2006, il compose et réalise son premier album solo « La Clef », l'album "Caisadrum" en 2010, « Couleur Cosma » en 2011 et « Spirale » en 2012.

Frédéric Perroux réalise des compositions pour des artistes variés, des éditeurs et participe à d’autres projets en tant que batteur-percussionniste avec différents groupes.

Sites internet :






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Julien Boulier : Je suis basé à Brest et je compose actuellement de la musique, piano, low whistle et musique assistée par ordinateur. Je suis souvent à la recherche de collaborations artistiques, musique, court métrages, photographie, vidéos, films, théâtre, danse contemporaine... Vous pouvez écouter mes musiques ou voir mes différentes collaborations sur ces différents liens :







http://www.youtube.com/playlist?list=PLFB5EE51AA04D2C66 (collaboration avec les photographies et videos de Christine Assino)
http://www.thesirenssound.com/2012/08/06/julien-boulier/
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 Jean M. Mathoul, non musicien autodidacte belge, fondateur et membre du collectif musical international à géométrie variable 48 Cameras qui, à ce jour, a publié 9 albums.

Jean M. Mathoul collabore depuis 2010 avec Christophe Havot. Réalisation d’un environnement sonore pour le film Mémoire des lieux – série numéro 2 – 54340 présenté sur ce blog.

Auteur de la musique d’accueil de ce blog, il proposera éventuellement plus tard, sous son nom ou sous celui du collectif précité, d’autres contributions au fil de ces 48 semaines à venir…

VISITER LE SITE DE 48 CAMERAS

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Après des études de photographie Benjamin Lew s’intéresse aux musiques électroniques et répétitives. Il participe à une publication (FOSSILE) inspirée du cut-up cher à William Burroughs, avec un disque souple mélangeant musique et interviews de vietnamiens parlant de la guerre.

Cest grâce (certains diront à cause) à ce souple que Benjamin Lew rencontre Marc Hollander.

De cette rencontre sortiront plusieurs albums en collaboration avec divers musiciens comme Steven Brown, Blaine Reininger, Peter Principle, Samy Birnbach, Vini Reilly....
Benjamin Lew  a aussi réalisé des musiques pour divers films et chorégraphies.

Dans les années 90 il travaille avec Verle Pinquers et fait des installations mêlant objets et sons, voire objets sonores.

Benjamin Lew travaille actuellement avec Jérome Grynpas, un philosophe de 83 ans qui écrit des poèmes avec lequel il projette de réaliser un livre ainsi quun DVD : Benjamin Lew accompagnera les poèmes dimages et de sons.

Le morceau proposé ici a été composé par Benjamin Lew qui joue les instruments électroniques. Luc Van Lieshout (Tuxedomoon) joue la trompette.

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Michael Begg forme Human Greed en 1999. Rejoint par Thomas Deryk, il sort l’album  Consolation en 2001. Pilgrim: New World Homestead suit en 2006.

Human Greed prend son essor avec le troisième album, Black Hill: Midnight at the Blighted Star en 2008. Cet album est marqué par la collaboration de nombreux invités : Julia Kent, Clodagh Simonds (Fovea Hex), David Tibet (Current 93) et Fabrice Palumbo.
Fortress Longing, 4ème album studio, sort en 2011 et dévoile tout le talent de Michael Begg. «Musique stupéfiante et magnifique ... totalement onirique ... l'un des albums de l'année" (Brainwashed)

La réputation de Michael Begg comme instrumentiste électronique innovant continue de croître comme le fait sa réputation en tant que producteur et artiste sonore. Il apparaît sur les enregistrements de Fovea Hex, Blind Cave Salamander et Laura Sheeran. La compagnie russe de théâtre, blackSKYwhite, utilise son travail, indiquant la volonté de Michael Begg de retourner vers ses racines théâtrales.

Il joue Fragile Pitches, en collaboration avec Colin Potter dans la cathédrale St Mary de Haddington et la cathédrale St Giles d’Edimbourg (Ecosse) et produit un double CD pour l’occasion sur son propre label Omnempathy / ICR. L’œuvre est rejouée en novembre 2010 au Festival Intermediale, en Pologne.

En plus de continuer à développer Human Greed, Michael Begg enregistre et joue avec le groupe de Clodagh Simonds : Fovea Hex. Il  contribue aussi  aux travaux de 48 Cameras.

Le morceau proposé ici, inédit à ce jour, est destiné à paraître dans un hypothétique double vinyle de Black Hill et il en reprend des thèmes identifiables.


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Nim Is A Tree est Jean-François Flamey, création sonore et photographique, Belgique.


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Stephan Ink est un musicien, producteur, ingénieur du son français vivant à Liège.

Après des études de sciences il s'installe à Paris et y travaille dans des studios en tant qu'ingénieur du son. C'est là qu'il rencontre Lucie Dehli avec laquelle il va écrire, composer et publier des disques de musique expérimentale.

Vicious Circle, leur premier projet, est sorti sur le mythique label anglais de Stevo : Some Bizarre (Coil, Einstûrzende Neubauten, Swans, Soft Cell...) 
Par la suite, sous le nom de View, sortent deux albums, Bike ride puis Life goes on again chez les Disques du Soleil et de l'Acier.
En 2006 naît Elephant Leaf pour lequel sort d'abord un Ep sous le label canadien Chat Blanc Records Echange : 1 (2007) puis deux albums Emotional power (2008) etThe taste of salt (2009) sous leur propre label Tutuguri.

Stephan Ink a également collaboré avec les groupes anglais SonVer et Attrition ainsi qu'avec 48 Cameras.
Actuellement il fait partie du trio de musique improvisée Soigne ta droite aux côtés de Jean Philippe Dauphin et Joël Keutgen. Il joue régulièrement au sein du collectif expérimental Entrelaction Matériophonie emmené par Olivier Pè.

Stephan Ink participe au prochain album de 48 Cameras en cours de réalisation et dont la  sortie est prévue en 2012.

Le morceau New Found Land, inédit et composé pour ce blog, est issu d'un travail solo dans lequel se mêlent diverses sources sonores avec entre autres : field recordings, instruments, électronique primitive, textures sonores.

VISITER LE SITE DE STEPHAN INK




 

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Collectif musical et international à géométrie variable, 48 Cameras est actuellement composé de Michael Begg (Ecosse), Michel Delville (Belgique), Sister Saskia Dommisse (Pays-Bas), Nick Grey (Canada / Monaco), Peter James (Royaume Uni) Calogero Marotta (Belgique / Italie / Royaume Uni) & Jean M. Mathoul (Belgique).

Depuis 1985, 48 Cameras a publié 9 albums. Un dixième, double digipack, devrait voir le jour dans le courant de l’année 2012. Les membres de ce collectif enregistrent fréquemment par correspondance via Internet (certains d'entre eux ne se sont d'ailleurs jamais rencontrés). Cet album s’ouvrira à nouveau à de très nombreuses collaborations en provenance de divers pays. Parmi les invités, citons d'ores et déjà Eyeless in Gaza et Scanner.

L'intégralité de la discographie de 48 Cameras est disponible en ECOUTE ICI


Le morceau proposé ici sera présent sur le futur album dans une version quelque peu remaniée.
La présente version bénéficie de la participation de Mark Beazley (Royaume Uni) à la basse et de Madame Pascale Tempels (Belgique) au chant.  


VISITER LE SITE DE 48 CAMERAS
 


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Née en 1980, Delphine Dora a commencé à étudier le piano classique à l'âge de 6 ans pendant 9 années...
Après une longue pause, elle s'est remise à composer à l'âge de 23 ans ses propres chansons et musiques de manière totalement spontanée.
S'ensuit alors une longue série d'enregistrements sortis sur des micro-labels indépendants ou en téléchargement libre, plus ou moins aboutis, d'une musique étrange, inclassable, intimiste sur le fil qui oscille entre ambiances chaotiques, improvisations et chansons plus structurées, sa voix alternant entre chant mélodique, allant du spectre du chuchotement aux cris.
Delphine Dora a sorti récemment un album de chansons adaptées du fameux Leaves of Grass du poète Walt Whitman et elle a co-dirigé un projet de chansons improvisées entre folk et jazz, réalisé par des enfants de 7, 9 et 12 ans...

Si sa curiosité musicale sans limite l'a amené à collaborer avec des artistes provenant de diverses sphères musicales : songwriting (Jullian Angel, Half asleep), musique noise ('Li), musique électro-acoustique et musique expérimentale/free-folk (Salvatore Borelli), musique improvisée et free jazz (Paulo Chagas, Bruno Duplant), sa musique repose toujours autour du piano, son instrument de prédilection, qu'elle ne cesse d'explorer dans les moindres territoires....

Dans le courant de l'année 2012, Delphine Dora sortira un album-concept en collaboration avec Half Asleep sur la thématique de l'aliénation autour de chansons inspirées de personnages réels ou fictifs (Molloy de Beckett, Zelda Fitzgerald, Sarah Kane...).
Elle prépare actuellement plusieurs albums instrumentaux : piano solo et piano en collaboration avec d'autres instrumentistes.

ECOUTER LA MUSIQUE DE DELPHINE DORA




 

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Auteur, compositeur, chanteur, musicien, Edward Ka-Spel est connu pour avoir fondé (avec Phil "The Silverman" Knight) le groupe mythique et toujours bien vivant The Legendary Pink Dots avec lequel il continue à se produire et à réaliser de nombreux albums.
Particulièrement prolifique, Edward Ka-Spel mène une carrière solo et collabore à divers autres projets, notamment The Tear Garden.

Sa discographie est pratiquement impossible à recenser d’autant qu’entre les vinyles, les cassettes et les CD les supports qu’il peut utiliser sont multiples.

Il est aussi connu sous les noms : The Prophet Qa'Sepel, Qa'Sepel, Che Banana, D' Archangel… ce qui brouille encore davantage les pistes de ses innombrables collaborations.

La voix de Ka-Spel est tout à fait caractéristique et les paroles de ses morceaux teintés de psychédélisme et d’une mythologie toute personnelle en font un songwriter unique.
Son allure vestimentaire (prédominance du noir, foulard, lunettes de soleil en toute circonstance) contribue à faire de lui un artiste de scène particulièrement remarquable.

Le morceau proposé ici est une exclusivité réservée pour le moment aux visiteurs de ce blog.

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De Jeehak, qui a eu l’amabilité de nous envoyer un morceau spécialement composé et réalisé pour le blog, nous ne savons pas grand-chose.
Un extrait de manuscrit dont nous ne possédons hélas pas l’intégralité mais uniquement ce fragment reproduit ci-dessous, renseigne difficilement sur cet artiste.
Quant aux images que nous sommes parvenus à nous procurer elles n’en disent guère davantage…

« Et passé l’entrée du chemin, franchi le portail de bois vermoulu retenu dans sa chute par d’épais paquets d’herbe et de feuillage, toujours ouvert depuis toujours, qui n’avait jamais eu d’autre fonction que celle d’objet symbolique, laissant espérer à celui qui osait aller plus loin après avoir déchiffré le court texte, traces de peinture piquetée sur le panneau parfaitement rouillé cloué sur un des montants, comme une pancarte décochant un slogan : « viens quiconque », ces quelques mots évasifs qu’elle (Ixchel alors tout juste adolescente) n’avait jamais vraiment compris, leur accordant cette sorte d’aura mystérieuse qu’aurait une incantation, formule secrète, invite magique allant bien au-delà du simple sens de ces mots, symbole donc laissant espérer à chacun qui s’avance qu’il suffit de quelques pas encore et encore, d’un peu de marche, d’effort, pour découvrir la possibilité d’un tout autre monde et que s’offre ses horizons multiples, puis, parcouru les quelques dizaines de mètres à repousser les branches, les larges palmes, redouter la présence vénéneuse d’insectes, de serpents ou de rampants caparaçonnés, d’enjamber des bois délités grouillant de vermine, à soupçonner chaque piqûre, chaque éraflure d’être la morsure maléfique d’un monstre satanique, d’un ça-tue-ça, à chercher un peu d’air dans la touffeur renforcée par l’étroitesse du passage, l’impression d’obscurité d’un tunnel, à tourner le visage vers le haut, à chercher le ciel dans les trouées de lumière du toit sombre alors que les pieds dans la terre ou les creux de roche enfoncent dans des restes de flaques d’eau tiède et croupie, pour déboucher soudain comme de derrière une porte qu’un coup de vent violent aurait arraché bien que l’air fut à cette heure parfaitement immobile, au-delà de la petite plage où le fleuve venait déposer ses rides, sur une terrasse tapissée d’une pelouse drue, la cabane de bois, et à l’ombre, sur l’avancée surplombant l’eau, semblant ne rien attendre, ne rien entendre, lui, Jeehak. »
rare portrait


avant de déboucher sur la cabane de Jeehak

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Jean-Pierre Devresse - aka jpDelirium - aka PJ Dolphin
Artiste polymorphe et romancier, né dans la seconde moitié du 20ème siècle.
Habitant actuellement et malencontreusement par 50° 37' latitude Nord et 5° 34' longitude Est
Pas du tout photographe, sauf coup de chance...
A généralement la mauvaise idée de publier ses romans dans des maisons d'édition qui font faillite quelques temps plus tard.
S'essaie de temps à autre à la musique, pour son propre plaisir et le malheur des autres.
Souffre d'acouphènes et d'éthylicanthropie (rare maladie qui consiste à se mettre un oreiller sur la tête en rentrant très tard - ou très tôt, c'est selon - lorsque les oiseaux commencent à chanter les nuits de pleine lune)
Vénère Robert Rauschenberg et pense que Paul Claudel n'est pas nécessairement le contraire de connerie.
A commencé hier à se fasciner pour les défenestrations et, il y a 17 ans, pour les combustions spontanées.
Comme disait Achille Chavée, un poète qui habitait par 50° 25' latitude Nord et 4° 26' longitude Est : "JP Delirium est un vieux Sioux qui ne marchera jamais en file indienne"...

Le morceau proposé à l’écoute ici a été réalisé spécialement pour le blog.
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"Pascal Derycke est une fourmi, ou une abeille, en tout cas un homme à six pattes. Il faut bien cela à ce musicien du rythme, de la pulsation, dont les premières amours industrielles ont donné naissance au label PDCD (Pore, Alboth !, Laurent Pernice, Cable Regime, Hunting Lodge…).
Qui est attentif à la croissance du label a vu pousser les rameaux du dub, de l’électro, en marge de la structure métallique. Quand au milieu des années 90 Pascal Derycke fonde Hal avec les musiciens anglais de BlackState Choir, c’est en toute logique un printemps warpien qui domine leur musique. Tout s’ouvre alors : le « future sound fantastic » de Hal séduit Gillian Anderson – l’agent Scully de X Files – qui chante un single avec le groupe, et plus loin dans l’expérience transfrontalière, Hal enregistre avec des musiciens d’Afrique du Sud l’album Umoya.
Nous voilà à ciel ouvert. Et quoi au-dessus du feuillage, jusqu’à quelles complexités rythmiques l’homme va-t-il voler désormais ? Contre toute attente, c’est en reprenant à son ami Laurent Pernice (qui lui aussi a longtemps fouillé le jazz, l’électro, la musique filmique) le concept de musique immobile, que Pascal Derycke peint un ciel, une surface réverbérante, s’ouvre au drone, cette musique ambiante aux harmoniques fuselés. De loin en loin, les reflets s’élèvent en chant ou plongent dans le sombre, teintent de cuivre les nuages du couchant et contrarient cette immobilité de la masse lumineuse, miment encore le vieux combat de la pulsation et de l’entropie, cartographient le poumon apaisé."
Denis Boyer du Magazine FEARDROP

Le morceau publié ici fait partie d’une série de nouveaux travaux que Pascal Derycke vient d’entreprendre sous le nom de Halspirit.
VISITER LE SITE DE HALSPIRIT
 autres liens :
EN SAVOIR PLUS 1
EN SAVOIR PLUS 2
EN SAVOIR PLUS 3
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Vesica Piscis s’est formé à New-York en  1991. Le groupe comprend deux membres : Carrie Ann et Kendall. 
Vesica Piscis utilise ses propres machines électroniques et acoustiques, ainsi que des voix et des « field recordings » afin de créer un son unique.
Le morceau proposé à l’écoute est une création tout à fait récente, réalisée, comme son titre l’indique, à l’occasion de la célébration d’Halloween 2011.
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Fugue Satori est née un dimanche de Pâques, le 11 avril 1982 à Oklahoma City (USA).
Elle a commencé à jouer du piano dès l’âge de 2 ans mais n’a jamais pris de cours.
La musique est quelque chose qui vient à elle et cela depuis 27 ans. Avec la musique elle a l’impression de parler plus fort et de plus haut.
En 2011 Fugue Satori a sorti un disque intitulé Subgenre (hélas épuisé) sur le label Sirenwire de Susan Matthews.
Le morceau proposé ici devrait apparaître sur son prochain album, encore en préparation.
« La musique est l’âme, la roue de secours de la vie. Je serais déjà morte sans elle. » Fugue Satori
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Les origines musicales de Pascal Meurisse sont diverses : un grand père pâtissier féru de marches militaires, un « bon » papa douanier « fanfariste », un père représentant de commerce DJ, une mère chantant Nat King Cole en Espagnol et un beau père ne jurant que par la musique baroque !
Pascal Meurisse est envahi de sons à tout instant et les fait onduler à son tour depuis plus de 30 ans déjà. 
Tour à tour flûtiste, contrebassiste, bassiste électrique, guitariste, « ordinatiste », trop mauvais guitariste et récemment pianiste, il participe à tout ce qui se présente sur son chemin sans trop chercher. 
Seul ce qui dérange ses habitudes l'intéresse : les oignons verts, BAAB, l'orchestre symphonique UCL, diverses formations de Jazz, Cacau, Radio Prague, Nietzsche, etc. De temps à autre, il prend le risque artistique en solo. 
La contribution présentée ici a été initialement composée il y a une dizaine d'années pour le projet de musique pop « transgénique » BAAB. Le carrelage, la chape et le plafonnage ont été enlevés au marteau piqueur, un béton frais BUHP 120 MP  a été coulé puis lissé à l'hélicoptère spécifiquement pour le blog. La seule finition est une couche de glaçage au sucre blanc aromatisée au fluor et à la menthe.
La photo portrait montre les conséquences de la tradition pâtissière familiale.
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Lucie Dehli a étudié la musique classique mais a commencé sa carrière musicale avec un duo de musique expérimentale avec Stephan Ink en 1989 sous le nom de Vicious Circle. Le légendaire label anglais SomeBizarre (Soft Cell, The The, Einstürzende Neubauten ...) s'est intéressé au duo et leur unique album : Barbed Wire Slides édité en 1990 (et réédité par Infrastition en 2009). Souvent considéré comme ambiant ou shoegaze cet album est en fait le chaînon manquant entre la cold wave des années 80 et la musique industrielle des années 90, sorte d’ancêtre commun à Portishead et The Moon Lay Hidden Beneath A Cloud...
Lucie Dehli et Stephan Ink reviennent en France et signent deux albums sous le nom de View (Bike Ride, Life Goes on Again)
Il y a quelques années, elle décisde de s'installer en Belgique, à Liège. Elle participe alors au projet collectif expérimental de Jean Marie Mathoul, 48 Caméras (avec David Coulter, Michael Gira, Rodolphe Burger ..).
En 2006, elle crée Elephant Leaf, toujours avec Stephan. Brillamment accueillie par la critique musicale pour son dernier album avec Elephant Leaf en 2010, Lucie Dehli poursuit désormais ses explorations musicales avec une nouvelle équipe.
Elle s’est déjà produite sur différentes scènes avec le guitariste Lee Lebens et a été rejointe par Jean Kowalsky qui joue de la batterie et produit son prochain album. Ensemble, ils donnent naissance à une musique très colorée.
Lucie Dehli construit patiemment son chemin musical comme auteur, compositeur et chanteuse, sans aucune limite.
Le morceau proposé ici fait partie d’un projet intitulé We'll Meet in Heaven.
Lucie Dehli y est accompagné par Lee Lebens à la guitare, Emile Bombard à la guitare et à la mandoline et Jean Kowalsky à la batterie et aux enregistrements. 
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Camille Warmé nait à Paris en 1982 et fait ses armes au sein d’un petit groupe niçois nommé Fog avant de retourner à Paris où elle commence à travailler sur des compositions solo et se lance dans l’aventure Helluvah.
Après une démo de 5 titres, Lost in progress, enregistrée entre 2005 et 2006 et encouragée par la critique, Helluvah part tourner seule avec sa guitare en France et à l’étranger (Italie, Pays-Bas, Belgique, Lituanie, Lettonie, République Tchèque…)
En novembre 2006, elle enregistre Emotion pills, premier album aux accents rock/folk teinté d’électro et réalisé par le producteur lyonnais BobX. L’album sort en mai 2008 et est salué par la critique (Télérama Sortir, Open Mag, France Culture, Les Inrocks , Radio Néo, Radio Campus, Indierockmag, Stars are Underground, Sensation Rock…).
Le deuxième album d’Helluvah, As we move silently, sort au début de l’automne 2011 chez les toulousains du Label Etrange.
Sur scène elle est désormais accompagnée par BobX à la batterie et ses performances gagnent en intensité.
Le morceau proposé ici est extrait de l’album As we move silently.
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Tejo Bolten  est membre à part entière du mythique groupe hollandais Mecano, créé par Dirk Polak à la fin des années 70.
Après deux albums culte et quasiment introuvables, Autoportrait et Retitled, Mecano ne produit que de très rares albums, le dernier en 2007 : Those Revolutionary Days.
Tejo Bolten participe à divers projets musicaux notamment avec la poète Kaa  aka Luz Oscura  pour l’album Sensorial
Le morceau proposé ici fait partie d’un projet en cours de réalisation.
« Imaginez-vous comme faisant partie de la musique. Rentrez dans le son comme vous entreriez dans un tableau. Imaginez des yeux qui vous regardent et pleurent sans verser de larmes. Imaginez la douleur pointue dans votre cœur sans que le mal soit visible. Imaginez la vie continuant, s’accélérant pendant que personne ne peut deviner votre tristesse… » Tejo Bolten
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Eric Trochu est Ert. Photographe complet, de la prise de vue au laboratoire en passant par la vente, il est surtout depuis 1982 musicien, compositeur, spécialiste en traitements et montages sonores, sound design, mixage, mastering, production artistique, installation sonore…
Eric Trochu collabore avec des groupes et des artistes aussi divers que : End of Data, Torii Kami, Complot, Jogleor, Arkàn, Ert, Frakture, Nikolaï Ada, Alan Stivell (pour n’en citer que quelques-uns).
Il réalise des musiques pour des documentaires et des émissions de télévision, des installations, des performances musicales pour des artistes plasticiens.
Eric Trochu participe à la création de spectacles de théâtre et de danse pour diverses compagnies.
Il se produit en concert sur scène en tant que Ert ou avec Complot (cf semaine # 13 de ce blog) lors de la tournée 2009-2010, avec Pascal Lamour en France, en Belgique et en Suisse pour la création Shamans of Brittany.
Il compose et interprète une musique originale pour l'inauguration du métro de Rennes.
Le morceau présenté ici a été finalisé pour le blog. Le mouvement de cordes avait était écrit pour une chorégraphie de la Cie Ladaïnha mais jamais utilisé.
 
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The Great Park est le projet musical de Stephen Burch.
Stephen Burch est né dans le sud de l’Angleterre mais a passé la majeure partie de ses premières années en voyage avant que sa famille ne s’installe dans la campagne irlandaise. Sur la ferme se trouve une maison abandonnée et quasiment en ruine mais avec une pièce suffisamment accueillante pour y faire de la musique.
Une guitare acoustique vintage, un piano droit de famille, des balais, des pots et des chaînes en métal. Des images de champs, de fermes, d’animaux, de poursuite et de fuites, de personnages disparaissant et réapparaissant en des lieux différents… Voilà la matière de l’œuvre musicale de The Great Park qui propose des morceaux denses et graves autour de thèmes dramatiques dont il explore les possibilités.
En 2010  The Great Park a donné plus de 150 concerts en Allemagne, en Suisse, au Danemark, en Italie et en Angleterre.
Dix albums sont disponibles sur le label Woodland Recordings.
Le dernier album, duquel est issu le titre proposé ici, est sorti en septembre 2011. Il s’intitule  Now Wash Your Hands.
© Arne Bratenstein
 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Michel Delville est né à Liège (Belgique) en 1969. Il compose de la musique et se produit sur scène depuis le milieu des années 80.
Il est ou a été impliqué dans de nombreux projets. Parmi les plus récents citons le quintet de jazz-rock, Wrong Object ; le quartet punk-jazz belgo-suisse, Trank Zappa Grappa in Varèse ; le trio, douBt (avec Alex Maguire et Tony Bianco) dont le premier album Never Pet a Burning Dog est paru chez Moonjunerecords en 2010.
En 2009 Michel Delville est chargé de diriger Comicoperando, hommage à la musique de Robert Wyatt.
Au printemps 2010 il rejoint officiellement le collectif international 48 Cameras.
La même année, Michel Delville figure dans le top 10 des meilleurs guitaristes électriques pour l'Annual Jazz Station Poll du producteur brésilien Arnaldo DeSouteiro.
Il se produit sur scène dans le monde entier et mène dans le même temps une carrière d’enseignant chercheur à l’Université de Liège où il enseigne la littérature et la littérature comparée.
Le morceau proposé en écoute ici a été spécialement composé et enregistré pour le blog. VISITER LA PAGE MYSPACE DE MICHEL DELVILLE VISITER LE SITE DE WRONG OBJECT
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Peter James compose de la musique « ambient » depuis de nombreuses années. Il a commencé comme ingénieur du son dans le milieu des années 1980 et ce n’est qu’à partir de 2007 qu’il se lance sérieusement dans la composition et la création de sons.
Il sort alors son premier album, holding on - letting go.
En 2008 Peter James produit l’album is, qui, à part deux parties vocales et quelques “field recordings”, est exclusivement réalisé avec une guitare basse.
Ces deux premiers albums ont été édités fin 2010 au Royaume-Uni par Trace Recordings.
En février 2009 parait un album en téléchargement libre, intitulé the more i look the less i see, qui a depuis été édité aux Etats-Unis par Cyxcincorp records.
Le prochain album, composé principalement de “field recordings” dans des lieux visités en 2009 et 2010,  memento, devrait voir le jour dans le courant de l’automne 2011
Outre ses œuvres en solo, Peter James collabore à divers projets et fait partie du collectif 48 Cameras.
Il a fourni la musique pour la vidéo de Christophe Havot intitulée Une rencontre
« Je ne suis pas un musicien très prolifique mais la plupart de mes œuvres sont composées de sons que je crée moi-même qui s’agencent ensuite selon leur feeling, leur débit, leur rythme et en guident la réalisation. »   Peter James
Le morceau proposé ici a été spécialement conçu pour le blog, il devrait apparaître sur un prochain album de Peter James dans une version sensiblement différente et chantée.
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Sergey (Jhonny) Ivanov a.k.a Kratong est né en 1975 à Kaliningrad (Russie). Musicien et ingénieur du son il est le co-fondateur de Romowe Rikoito et Kratong.
En tant qu’ingénieur du son il travaille avec divers groupes dans des projets internationaux et locaux.
En tant que musicien il a participé à de nombreux festivals tels que Wave Gothic Treffen (Allemagne), Wroclaw Industrial Festival (Pologne), Menuo Juodaragis (Lituanie) et bien d’autres.
Kratong a composé des musiques pour des jeux informatiques et des musées. Ses goûts musicaux l’entraînent de la musique folk sombre à l'électronique expérimentale. Ses recherches principales l’amènent à la transformation des sons naturels (field recordings) qu’il mélange à de la musique moderne industrielle afin de donner naissance à des formes nouvelles dans son alambic d’alchimiste.
Kratong : « l’artiste moderne est un alchimiste qui manipule l'être humain sous toutes ses formes. »
Le morceau à l’écoute ici a été spécialement réalisé pour le blog.
© Inga Inges
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Andrew Paine s'est imposé tranquillement et sans faire d'histoires, comme l'un des penseurs les plus progressistes de la musique underground du Royaume-Uni. Ses modes d’expression vont de la voix en solo, aux nappes de guitares hurlantes, en passant par de doux interludes pour piano, ou par la musique électronique, le tout sans s’interdire toute digression dont il peut avoir envie.
Andrew Paine collabore d’abord avec Richard Youngs avec lequel il fonde le projet de rock progressif : Ilk. A la suite de leur deuxième album, Canticle, en 2005, il devient particulièrement prolifique, collaborant toujours avec Youngs et aussi avec Alistair Crosbie (Glasgow, Ecosse). Il propose aussi de nombreux titres en solo.
En 2006 il  fonde son propre label, Sonic Oyster Records (Le site du labelpour éditer ses propres travaux. Il co-fonde récemment le groupe de kraut-rock progressif Space Weather, avec Alistair Crosbie et Brian Lavelle (voir plus bas) ainsi que The Blue Tree avec Matthew Shaw (voir plus bas)
Le morceau proposé ici a été spécialement composé pour le blog.
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Depuis 2002, la musique atmosphérique de Nick Grey mêle arrangements orchestraux élégants et interventions électroniques imprévisibles.
Avec une dizaine d'albums à son actif, son travail l'a conduit à collaborer avec des artistes tels que Charlemagne Palestine, Martyn Bates (Eyeless in Gaza cf semaine #20 de ce blog), Kris Force (Amber Asylum, Swans)... Il est également membre de 230 Divisadero (avec Matt Shaw, de Tex La Homa cf semaine #4), et du « collectif international » 48 Cameras.
Nick Grey fait aussi partie de l'entité Bouc Astral, productrice de films improbables : Films à voir ici. Il travaille en outre actuellement sur son prochain album, Breaker of Ships.
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Martin Rimbaud Mathoul est né le 30 janvier 1994, à 0 heure 23, à Huy (Belgique) et n’a donc que 17 ans.
Il est encore étudiant mais il est aussi batteur dans un groupe rock : Hut in the grass.
Le Martin Rimbaud Mathoul Trio est une formation fantomatique spécialement créée pour la participation au blog et sa pérennité est plus que douteuse...
Le morceau proposé à l’écoute ici a été composé en l’honneur de sa toute jeune nièce, née cette année.
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Yannick Franck (né en1981 à Liège, Belgique) est performeur, artiste sonore et plasticien. Il vit et travaille à Gand, Belgique.
Il dirige le label indépendant Idiosyncratics Records et est le membre fondateur du projet de recherche sonore Y.E.R.M.O. (Biennale de Venise 2009, pavillon du Luxembourg) au sein duquel il est actif depuis 2005 en compagnie du guitariste Xavier Dubois et occasionnellement du batteur Jason Van Gulick.
Yannick Franck a collaboré avec Gast Bouschet et Nadine Hilbert, Craig Hilton et développe actuellement plusieurs projets avec Pietro Riparbelli / K11, Esther Venrooy, Karl Van Welden, Jean M. Mathoul, Philippe Petit, Steve Kaspar, Stuart Dahlquist et Christian Renou, seul ou au sein de Y.E.R.M.O..
Il travaille en tant que compositeur et créateur sonore pour le Théâtre National de la Communauté Française de Belgique ainsi qu'avec les compagnies Artara et Trotz Ensemble. Il a exposé et s’est produit dans de nombreux pays, incluant la Russie, les États-Unis et la majorité des pays d’Europe.
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Serge Planchou mène deux activités en parallèle : création sonore et réalisation de documentaires
Son travail au son consiste plus particulièrement en un assemblage précis de sons naturels afin d'obtenir une pâte sonore, une couleur. Ces différents sons une fois enregistrés sont travaillés comme des notes sur une partition.
Il en résulte un espace sonore qui peut plonger l'auditeur dans un univers qui, bien que familier, est difficilement identifiable.
Serge Planchou a travaillé notamment sur les Podcast des visites guidées du Muséum d’histoire naturelle de Toulouse, Dr Jin création sonore pour la Cité de l’espace de Toulouse, les installations photographiques de Eve Ducau, le groupe Kass kass, et les travaux vidéo de Christophe Havot
En ce qui concerne son travail de réalisation les thèmes qu'il aborde dans ses documentaires portent essentiellement sur la musique ou la danse et l'enseignement dans le sens de la transmission et de la passation du savoir.
Certaines de ses réalisations sont visibles sur les liens suivants :
           Tangopostale (13')
           Cantates sans filet (13')
A propos de Monolithes, présenté en écoute ici Serge Planchou écrit :
« Soyons vigilants à la musique des bruits.
S’il existe un point de vue, il se trouve aussi un point d’écoute.
Nous sommes environnés d’une infinité de sons si familiers que nous n’y prêtons guère attention…
Soyons à l’écoute… Tendons l’oreille… et alors s’ouvrent à nous des espaces insoupçonnés…
Le sel de la vie est fait du regard que l’on porte aux choses.
Mon travail a consisté simplement à enregistrer des sons naturels et à les assembler.
J'essaye ainsi de trouver une respiration, de faire vivre l’espace sonore qui nous entoure au quotidien, de sensibiliser l'autre à cette richesse qu'il traverse sans toujours y prendre garde.
Une autre attention, une autre écoute…et  une mélodie peut se révéler derrière ces sons naturels, et pourtant si étranges. »
VISITER LE SITE DE SERGE PLANCHOU
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Didier Guigue : Français de naissance, il vit à João Pessoa, au Brésil, depuis 1982. Directeur de recherche et professeur à l’Université fédérale de Paraiba il intervient dans les domaines de  la théorie de la musique, l'esthétique, la composition, l’informatique musicale et la musique numérique, principalement aux XXème et XXIème siècles.
Didier Guigue compose de la musique acoustique et électro-acoustique, dans une variété de styles qui vont de l'informatique musicale expérimentale au rock progressif, parfois avec une légère touche de références afro-brésiliennes.
Il collabore régulièrement avec de nombreux artistes sous différentes formes d’expression comme la danse, la vidéo et les arts visuels numériques.
Certaines de ses œuvres électroniques ont été publiés dans des compilations CD en Angleterre (Organized Sound, Cambridge University Press, 1998, Vol. 3, n. 1), aux Etats-Unis (Southern Cones: Music Out of Africa and South America, Leonardo Music, 2000, Vol. 10) et au Brésil, où il a également sorti son CD Vox Victimae en 1999.
Le morceau présenté ici est un projet de musique électronique ambient inspirée, selon Didier Guigue, par le personnage le plus intéressant du roman After Dark de Haruki Murakami : Eri Asai.
© Ticiano Rocha


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Susan Matthews est une compositrice de musique expérimentale basée au Royaume Uni mais ses réalisations l’ont aussi conduite à l’étranger pour des performances dans des galeries d’art, ou dans des festivals, pour des spectacles, pour des résidences d’artiste, pour la réalisation de bandes sonores destinées à des films et pour de nombreuses collaborations ou participations à des compilations musicales. Dans le même temps elle sort aussi ses propres œuvres en CD.
En 2005, Susan Matthews fonde le label indépendant Siren Wire Recordings puis en 2010 la maison d’édition correspondante, Siren Wire Editions. Au total elle produit plus de 30 CD d’artistes divers avec lesquels elle collabore parfois.
Le morceau proposé à l’écoute ici est une version remixée pour l’occasion d’une œuvre plus ancienne.
« Il y a plusieurs années quand mon fils aîné était très jeune il se tourna vers moi et dit « Mon nom est en sécurité dans ta bouche ». La phrase m’est restée et la musique est née de cette affirmation. La pièce a été réalisée sur un clavier électronique d' enfant, j'ai enregistré plusieurs couches entrelacées à l'aide de plusieurs «voix» du clavier et je les ai mélangées sur un vieux Mac en utilisant mon logiciel archaïque préféré. » Susan Matthews
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Depuis 31 ans, la vie de Martyn Bates et Peter Becker se confond avec l'histoire d'Eyeless In Gaza.
Le nom du groupe est tiré d'un roman d'Aldous Huxley paru en 1936, traduit en français sous le titre de La Paix des Profondeurs.
D’abord qualifiée de New Wave, dans les années 80, leur musique a exploré depuis divers territoires.
Séparément ou en commun les deux artistes collaborent avec de nombreux autres artistes, Bill Laswell, Genesis P. Orridge ou Anne Clark notamment. Il seront très présents sur le prochain album de 48 Cameras.
En 2010 sort l’album Answer Song & Dance. Le groupe se produit alors en concert à Berlin, Londres, Barcelone et dans son fief natal : Coventry.
Eyeless In Gaza travaille actuellement à la réalisation d’un nouvel album et à la valorisation d’archives non encore publiées sous forme de CD.
Le morceau proposé à l’écoute ici est un inédit qui pourrait évoluer et se retrouver sur un prochain album sous une forme quelque peu différente.
Berlin - février 2009
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Shara Worden  est à la tête de My Brightest Diamond.
Son grand-père paternel était un évangéliste itinérant jouant de l’Epiphone (guitare mythique), son père un accordéoniste accompli et sa mère organiste classique. Jeune, Shara Worden chante à l'église avec sa famille et participe à des compétitions internationales avec sa chorale.
Elle poursuit ensuite des études universitaires et obtient un diplôme d’opéra.
Après avoir déménagé à New York et enregistré trois albums de ses chansons, Shara décide d’étudier la composition avec le compositeur/interprète Padma Newsome (Clogs, The National). Elle compose alors la musique de plusieurs productions de théâtre-off à Broadway. En 2004, Shara Worden recrute une section de cordes pour créer My Brightest Diamond, qui combine des éléments de rock et de musique classique.
Leur premier disque, Bring Me The Workhorse, sort en 2006. Leur deuxième album intitulé, A Thousand Shark’s Teeth, sort en 2008.
Ces dernières années Shara Worden collabore à divers projets : elle chante le rôle de la Reine pour l'opéra rock The Hazards of Love, est présente sur l’album Illinois and The Age of Adz de Sufjan Stevens, en duo avec David Byrne pour son album Here Lies Love et chante de la musique de chambre avec Padma Newsome.
Un nouvel album de My Brightest Diamond est en préparation. Il sera réalisé avec les musiciens de yMusic, qui jouent des instruments à cordes, de la flûte, de la clarinette et de la trompette.
Le morceau présenté ici et enregistré Live figurera dans une version studio sur ce nouvel album.
VISITER LE SITE DE MY BRIGHTEST DIAMOND
© Raphael Neal
 
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Brian Lavelle enregistre de la musique électronique depuis près de deux décennies maintenant. Au cours de ces 5 dernières années il s'est concentré sur des musiques oniriques et des créations sonores inspirées d’œuvres littéraires plutôt méconnues.
Ses travaux sont composés à l’aide de synthétiseurs, de matériel électronique et d’une grande variété de « field recordings ». Comme les musiques de films non encore existants.
Brian Lavelle a publié de la musique sur Diophantine Discs, Sonic Oyster Records, Apollolaan, Hooker Vision et Tranquility Tapes. De nouveaux enregistrements seront prochainement disponibles chez Overland Shark (Kansas), Sonic Oyster (Ecosse) et Digitalis (Oklahoma).
Il dirige le label Dust, Unsettled et enregistre avec Fougou, en compagnie de Matthew Shaw (cf semaine #4 de ce blog). Il est membre du trio Space Weather avec Alistair Crosbie et Andrew Paine.
A Splintered Mirror, spécialement crée pour le blog, est représentatif de sa période la plus récente, lors de laquelle il utilise un unique synthétiseur et se concentre sur ​​le rythme et la mélodie, absente dans ses œuvres précédentes jusqu’à ce jour.
 
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Alain Pire débute dans la musique dès 1968 comme batteur dans divers groupes de rock progressif. Il commence la guitare électrique à l'âge de 19 ans.
En 1980 il rejoint Jo Lemaire + Flouze et participe à l'album Precious Time. Il fonde ensuite Les Révérends du Prince Albert en 1982, (abord appelés Vétérans du prince Albert, ce qui ne fait que moyennement rire certaines personnes du Royaume) et sort l’année suivante l’album Ah quel massacre.
Il participe ensuite à divers groupes de musique basés à Liège (comme Such A Noise, avec lequel il sort trois albums) ou à Huy comme le groupe du même nom (Huy !) ou 48 Cameras.
Alain Pire fonde enfin le groupe Michel Drucker Expérience auquel il se consacre désormais et pour lequel il produit, compose, écrit, enregistre, et crée les arrangements.
Parallèlement à sa carrière de musicien Alain Pire est titulaire de l’agrégation en Arts et Sciences de la Communication et Docteur en Information et Communication grâce à une thèse sur "La musique psychédélique britannique"
Il a d’ailleurs sorti un livre aux éditions du Camion Blanc intitulé Anthropologie du Rock Psychédélique Anglais.
Le morceau présenté ici est issu de l’album Easter, November & A Year de 48 Cameras et a été remixé pour le blog.
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Robin Rimbaud a.k.a. Scanner est un artiste britannique qui traverse le champ expérimental entre le son, l’espace et l’image pour créer des œuvres sonores en utilisant la technologie sous des formes non conventionnelles.
Ses compositions, performances et installations lui ont valu de nombreux prix et la reconnaissance de musiciens comme Björk, Aphex Twin ou Stockhausen.
Scanner collabore avec toutes sortes d’artistes : des musiciens comme Bryan Ferry, Radiohead ou Laurie Anderson, des danseurs comme le Royal Ballet et Merce Cunningham, des compositeurs comme Michael Nyman et Luc Ferrari, et les artistes Steve McQueen, Mike Kelley, Derek Jarman, Carsten Nicolai, Douglas Gordon…
Il compose des musiques de films (Kirikou et Karaba la sorcière, Dr Jekyll & Mr Hyde…), des œuvres radiophoniques, des musiques événementielles (Coupe du Monde de rugby…) ou même publicitaires (IPad d’Apple…)
Scanner fait aussi partie du groupe Githead, formé avec  Malka Spigel et Max Franken (ex Minimal Compact) et Colin Newman (ex Wire).
Le morceau présenté ici est la musique d’un film du même nom qui explore une idée du temps et de la présence, qui traque l’éternité et le bref moment de contemplation qui précède une disparition...
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Demian Clav a été fondé en 2006 à Nantes par LSK (voix, guitares et synthétiseurs) avec Aurélien Chevalier (guitare). Après le départ de ce dernier en septembre 2009, LSK travaille avec divers musiciens (A. Faurel et Wehwalt  à la basse, Xandr et Chris à la Batterie et Simon Garot à la Guitare), jusqu’à ce qu’il rencontre Jean-Charles Wintrebert (batterie et violoncelle) qui rejoint Demian Clav fin 2009.
Le groupe a deux CD à son actif : Nightfall Prayers en 2009 et Wisteria Lodge en 2011.
« Fin 2009, les Français de Demian Clav impressionnaient l'auditoire grâce au très crépusculaire et cryptique Nightfall Prayers : une curiosité sonore dont la singularité n'avait d'égale que son caractère ensorcelant. Son successeur Wisteria Lodge emprunte les mêmes sentiers nébuleux pour parvenir à une finalité tout aussi déconcertante. Inspiré d'un récit d'Arthur Conan Doyle (l'auteur de Sherlock Holmes), le duo nantais dérange et cisèle neuf titres cinématographiques (le choix des samples est remarquable) aux orchestrations baroques rythmées par le romantisme, la peur et l'angoisse. Sur cette bande sonore élégiaque aux allures d'album concept, le déploiement de bonnes idées saturniennes atteste des qualités d'art d'une référence en devenir. Claviers fantomatiques en toile de fond, cordes satinées, ambiances oppressantes et surtout ces psalmodies, ces cris du coeur composent ces litanies énigmatiques ; à n'en pas douter, ce sombre poème original et troublant interpellera rudement le chaland. Wisteria Lodge ne s'appréhende pas facilement, un temps d'immersion est nécessaire pour s'en délecter mais assurément le jeu en vaut la chandelle. Faisant référence tour à tour à un rock très floydien (le sublime et pénétrant "White Mirror"), une audace à la Legendary Pink Dots et une théâtralité néoclassique savamment mise en mouvement ("Bewilderment"), les deux auteurs de Demian Clav se posent en véritables dramaturges et nous offrent une oeuvre de l'esprit... Impressionnant ! »
(Obsküre/Yann Swäno Mondragon)
Le morceau proposé à l’écoute ici a été spécialement écrit et réalisé pour le blog.
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Jean Jacques Palix : à la suite de ses années de productions et de réalisations de programmes radiophoniques à Radio France puis à Radio Nova dont il fut l'un des fondateurs en 1981, Jean Jacques Palix s'ouvre aux rencontres artistiques, musicales et sonores. Compositeur et arrangeur de musiques de films et de chorégraphies, scénographe sonore pour des installations, collecteur et archiviste de musiques rares, chasseur de sons, il est attentif aux différents domaines de l'expérimentation.
Toujours en liaison directe avec le champ du "sonore", Jean Jacques Palix s'investit dans des activités artistiques connexes.
Ainsi, en 2009, il réalise le film Ce disque est le même que l'autre montré dans de nombreux festivals (Rotterdam International Film Festival, Tribeca Film Festival …)
En 2010, Jean Jacques Palix est commissaire de l'exposition "Cornelius Cardew et la liberté de l'écoute" (Brétigny sur Orge, Stuttgart, Culturgest Porto) et dirige les performances sonores de "The living Currency" à Varsovie et à la biennale de Berlin.
Le morceau en écoute ici a été spécialement composé pour le blog.
© Anne Lise Dehée-2006
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Né en pleine tourmente afterpunk, Complot (ex Complot Bronswick) puise ses racines dans un univers rock-électro tribal mêlé à la musique industrielle.
Spécialiste des ambiances fortes, il est passé maître dans l’élaboration de climats puissants : atmosphère tendue, violence contenue ; rythmiques électroniques tribales ou cycliques, samples côtoyant des instruments véritables ; chant calme, mélodique ou murmuré ; textes riches d’un univers intime.
Complot est sans doute l’un des rares groupes français  étiquetés New Wave à ne jamais avoir souffert de la comparaison avec ses homologues plus renommés d’Outre-Manche.
(d’après Marsu)
Le morceau proposé ici, dont François Possémé est l’auteur-compositeur, est inédit à ce jour.
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International Hyper Rythmique réunit depuis 2007, Jean, Claire et Laurence Martial-Guilhem, frères et soeurs qui naviguent dans un cadre apatride, libéré de tout espace. On rebondit d'images en images, de liens en liens, perdu à travers les vertèbres du monde sans jamais s'égarer. La ville devient lunaire, le citadin, cosmonaute, IHR nous aspire dans un monde fantasmagorique où le vide serait vertical, les sensations affranchies et universelles. International Hyper Rythmique : téléportation post-pop.
Jean, Claire et Laurence Martial-Guilhem ont été bercés dans la musique depuis leur plus jeune âge ; cependant à chacun ses aventures, ses curiosités artistiques, ses explorations. Alors que Jean et Claire jouent ensemble dans des projets punk au lycée - Jean : basse et saxophone, Claire à la batterie - Laurence prête sa voix à divers projets musicaux.
Puis vient le temps des expérimentations, des voyages, de l'université et de la recherche. Jean oscille entre groupes et 4 pistes à cassette, il publie également 2 recueils de poèmes et enseigne la philosophie. Claire parcourt le monde avec son appareil photo en donnant des cours français. Quant à Laurence, elle fait des études à Paris en archéologie, se forme au théâtre et joue dans des courts métrages.
En 2003, Jean se lance dans le projet International Hyper Rythmique. Les choses se précisent dès 2007 : Laurence commence par poser sa voix, textes et mélodies sur les enregistrements de Jean, puis Claire se joint à eux. L'aventure peut commencer.
Le morceau proposé ici en avant première figurera sur le prochain album d’International Hyper Rythmique. VISITER LE SITE DE INTERNATIONAL HYPER RYTHMIQUE
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COLLECTION D’ARNELL-ANDREA : Remarqué en 1988 par un label anglais, le groupe, réduit à l’époque au noyau fondateur  Chloé St Liphard et Jean-Christophe d’Arnell, enregistre un disque de 4 titres Autumn’s breath for Anton’s death . Ce disque, aujourd’hui introuvable, présente un climat musical et esthétique envoûtant et profond qui n’est pas sans évoquer celui de groupes anglais comme Cocteau Twins ou Dead Can Dance.
C’est en septembre 1989 avec la sortie de Un Automne à Loroy que COLLECTION D’ARNELL-ANDREA confirme véritablement son style musical. Véritable oraison funèbre où dominent la voix de Chloé et le sanglot long du violoncelle, cet album bénéficiera d’un accueil chaleureux de l’ensemble de la presse française et internationale.
En 1992, sort le 3ème album du groupe : Les Marronniers. L’originalité de ce disque réside dans l’ouverture en direction d’une musique de type néo-classique, avec des compositions pour violoncelles, piano et voix qui lorgnent davantage vers la musique de chambre que vers la dark-wave…
A l’Automne 1994, COLLECTION D’ARNELL-ANDREA propose un concept album, consacré à la Grande Guerre : Villers-Aux-Vents février 1916. Les musiciens font appel au producteur Gilles Martin (Bel Canto, Minimal Compact, Dominique A, Tuxedomoon…) pour accompagner la réalisation de ce disque.
1996 voit COLLECTION D’ARNELL-ANDREA revenir à une inspiration plus bucolique, avec l’album Cirses des Champs  
En 2002 le groupe revient sous la forme d’un véritable orchestre de musique de chambre (alto, violoncelle, piano et voix) et propose à son nouveau label PRIKOSNOVENIE, des compositions s’inscrivant dans la tradition musicale de la fin du XIXème siècle avec Tristesse des Mânes. La presse unanime, encense cet album, qui s’inscrit dans l’univers des musiques « sombres » ou gothiques.
En 2004 COLLECTION D’ARNELL-ANDREA sort un nouvel album, électrique : The Bower of Despair. L’anglais s’impose sur la totalité de l’album et se conjugue à merveille au style plus épuré du chant de Chloé, renforcé par les chœurs graves et oppressants de Franz et Jean-Christophe.
« Ce septième album impressionne par son intensité et sa maîtrise, entre mélopées obsédantes et accélérations syncopées, entre apaisements apparents et éclats torturés, entre violon et guitare saturée. L’ampleur vocale de la chanteuse est en totale harmonie avec l’esthétisme musical de ses six compagnons : le culte d’une beauté froide et convulsive. » ROCK&FOLK
En 2007 le 8ème album, EXPOSITION Eaux-Fortes & Méandres, confirme une démarche artistique tout à fait originale et rappelle les liens étroits que les 7 musiciens ont toujours suscités entre « musique » et « peinture ».
Les chansons, en anglais et en français, évitent le piège de l’illustration, et révèlent une fois de plus, cette thématique chère au groupe : la relation fondamentale de l’Homme à la Nature.
En 2010  Vernes-Monde, 9ème album de COLLECTION D’ARNELL-ANDREA est un livre/CD dont les 11 titres invitent à poursuivre le voyage imaginaire commencé 20 ans plus tôt, au pays du Grand Meaulnes (Un Automne à Loroy).
Les textes, principalement écrits en français, puisent leur inspiration au creuset littéraire d’un autre siècle, évoquant à la fois, une Nature onirique peuplée de faunes sans visage et de rivières endormies et les errances de l’Homme, à tout jamais perdu, en quête d’outre monde.
COLLECTION D’ARNELL-ANDREA est : Chloé St Liphard (voix), Carine Grieg (claviers, voix), Thibault d’Aboville (alto), Xavier Gaschignard (violoncelle), Franz Torres-Quevedo (guitares acoustiques, voix), Vincent Magnien (guitare éléctrique), Jean-Christophe d’Arnell (composition, claviers, percussions, voix)
Le morceau présenté ici est un extrait du dernier album, spécialement remixé pour le blog.
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Radio Prague : La naissance du groupe a lieu à l’orée des années 80, lorsque ET Ben Souf, alias Didié Nietzsche, dégoûté par les méthodes classiques d’apprentissage de la musique, se fait offrir pour Noël une boîte « 100 expériences électroniques ». Il commence aussitôt à bricoler ses propres instruments et effets, à partir de cellules photoélectriques, de métronomes électroniques, de cordes de guitares tendues sur des caisses métalliques, etc. Les parties rythmiques sont obtenues grâce aux parasites provoqués par une machine à calculer sur une radio FM. Après quelques concerts dans le sud de la Belgique, Didié déménage à Huy où il rencontre Jules Nerbard a.k.a Shri Nerbard Petit Jr. (dont un morceau est proposé à l’écoute sur ce blog / SEMAINE #5), qui devient le deuxième membre permanent du groupe.
Radio Prague participe alors activement au mouvement « mail art », au travers de cassette-labels tels qu’ Insane Music, Home Produkt, The Sound of Pig, etc.                                                                     
Radio Prague fait ensuite l’acquisition d’instruments plus conventionnels, accueille de nouveaux membres, et prend une orientation plus commerciale (Electro Body Music) qui (hélas ?) n’aboutira pas vraiment : un album enregistré mais jamais distribué. 
Didié et Jules s’investissent alors dans d’autres projets (Les Tricheurs, MFS, 48 Cameras, Nietzsche, participation aux concerts pour 100 guitares de Rhys Chatham, écriture de chansons pour Les Vedettes…) mais continuent à collaborer occasionnellement sous le nom de Radio Prague. Dernièrement, Pascal Meurisse (guitare, électronique) et Laurie Nietzsche (batterie) se sont joints au groupe.
Le morceau proposé ici a été composé et enregistré spécialement pour le blog avec Didié Nietzsche : guitare, électronique et Laurie Nietzsche : batterie. 
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Deleyaman est fondé lors de l’automne 2000 lorsque l’américain Aret Madilian, multi instrumentiste et chanteur originaire de Los Angeles, rencontre, en France, Béatrice Valantin  (chanteuse) et Gérard Madilian (joueur de duduk arménien, instrument à anche double comme le hautbois). Ils sont rejoints par la batteuse suédoise Mia Björlingsson.
Le groupe s’installe dans un village rural de Normandie (France) loin de la vie urbaine. Les membres se consacrent alors aux enregistrements et compositions du premier album, 00/1.
Deleyaman sort ensuite deux autres albums intitulés Second  en 2003 et 3 en 2006. 
En 2009, le guitariste Ara Duzian les rejoint et le groupe signe chez Equilibrium Music, le label alternatif Portugais qui sort leur quatrième album Fourth, Part One, premier livret d’un album concept en deux parties dont le deuxième livret, Fourth, Part Two, sort en Avril 2011.
Deleyaman est inclassable. Sa musique a pu être décrite comme appartenant aux genres  darkwave, folk éthéré, post-rock, folk alternatif, psychédélique, gothique. Le groupe refuse  quant à lui toute catégorisation. Le mélange d’instruments traditionnels et électriques caractérise la musique de Deleyaman où les voix mystiques de Béatrice Valantin et Aret Madilian s’expriment en différentes langues.
Le morceau présenté ici, gracieusement mis à disposition par le groupe, est extrait de Fourth, Part One.
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Yves Dellicour a d’abord joué de la clarinette, avant de se tourner vers les saxophones alto et soprano, puis vers la clarinette basse. Très actif sur la scène jazz, il a rapidement pris part à plusieurs groupes de jazz-rock, tels que Luna Bong, Back to Normal, Ted Milton (UK), Stavroguine and The Wrong Object.
Il a créé le groupe de musique improvisée Flim Flam, joue et enregistre pour le groupe de Michel Kozuch et est membre du collectif 48 Cameras.
Yves Dellicour s’est produit dans plusieurs pays européens et a partagé l'affiche avec des noms comme Annie Whitehead, Harry Beckett ou même Ed Mann. Il participe aussi à des projets théâtraux.
Il a reçu un prix d'improvisation au Conservatoire Royal de Musique de Liège (Belgique).
Le morceau proposé ici a été spécialement improvisé à l’intention du blog.
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Blaine L. Reininger est un compositeur américain né en 1953 à Pueblo, au Colorado. Il étudie le violon dès l'âge de 9 ans, la guitare dès 11, puis la théorie musicale et la composition au collège et au lycée. Il quitte le Colorado en 1976 pour San Francisco. Là, en 1977, à la suite de ses études musicales, il fonde avec son camarade de classe, Steven Brown, le groupe américain légendaire et culte : Tuxedomoon
 En 1981, Reininger et le groupe quittent les Etats-Unis pour venir pratiquer leur art en Europe. Au cours des 30 années qui suivent, Blaine L. Reininger collabore à de nombreux projets artistiques, et enregistre de nombreux CD. Ces collaborations, la plupart du temps musicales, se déplacent souvent vers d'autres domaines comme la danse, le théâtre et le cinéma. Blaine L. Reininger continue à travailler en Europe et vit à Athènes, en Grèce, depuis 1998.
Le morceau proposé ici, gracieusement mis à disposition par l'artiste, est une version enregistrée en concert d'un titre écrit en collaboration avec un musicien grec : Coti K.
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Michael Tanner est un compositeur, écrivain et musicien du sud de l'Angleterre.
Il enregistre occasionnellement sous le pseudonyme de Plinth.
Il est membre des groupes Directorsound, Tyneham House, United Bible Studies, The Rural Tradition et se produit en concert avec la musicienne folk anglaise Sharron Kraus.
Michael Tanner a participé à l’enregistrement de l’album de Sharron Kraus acclamé à sa sortie, The Fox’s Wedding ainsi qu’aux albums à paraître de Agitated Radio Pilot et United Bible Studies. Il a également proposé des morceaux et des remix pour Pantaleimon de Andria Degen.
Michael Tanner est en train de terminer un nouvel album du groupe A. Lords avec le légendaire musicien des années 70, Mark Fry.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Shri Nerbard Petit Jr. est actif dans la musique depuis le début des années 80 à la basse et aux traitements électroniques. 
Successivement membre de Huy Nord, Radio Prague, Les Tricheurs, MFS, 48 Cameras et Nietzsche. 
VISITER LE SITE DE SHRI NERBARD PETIT JR. 
© Candice Tourret
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Matthew Shaw a.k.a. tex la homa compose, enregistre et se produit en concert depuis 2000. La musique a toujours été importante pour lui, tant comme simple auditeur que dans ses premières tentatives à la batterie dans des groupes punk près de Manchester, en Angleterre.
Ses premières chansons enregistrées l’ont été à la fin des années 90, sous le nom de tex la homa.
Matthew Shaw a enregistré depuis en tant que tex la homa ou sous son propre nom.
Il a aussi collaboré à divers projets ou collectifs musicaux, notamment 230 Divisadero avec Nick Grey, Fougou avec Brian Lavelle, The Blue Tree avec Andrew Paine et Cat Lady avec Michael Tanner.
Matthew Shaw a joué en live dans l'Europe entière et aux États-Unis et a enregistré pour de nombreux labels.
Matthew Shaw est aussi à la tête du label Apollolaan Recordings, qui a réalisé des œuvres de Richard Youngs, White Hills, Kawabata Makoto, Astral Social Club, Plastic Crimewave et bien d’autres artistes.
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Henry Krutzen a étudié les percussions, le saxophone et l'harmonie dans diverses écoles et ateliers de jazz en Belgique. Il joue également de l'harmonica, de la flûte à bec, du piano, des claviers et des instruments ethniques (reita, balafon, ken, shehnai ...). Sur le morceau présenté ici il joue du hang et est accompagné par Alexandre Johnson à la flute en sol.
Il a pris part à de nombreux projets musicaux: jazz, new wave, heavy metal, musique expérimentale, chanson française, musiques du monde et progressive rock…
En 2001, il s'installe au Brésil où il vit maintenant à João Pessoa, sur la côte Nord-Est.
Depuis 1993, Henry Krutzen travaille sur trois projets différents:
Finnegans Wake est un groupe de rock progressif.
Sous son propre nom de Henry Krutzen, il propose de la musique minimaliste, de la musique de chambre, des pièces pour piano ou de la musique expérimentale.
Sous le nom de Xeno, il développe un projet de musique électronique. 
VISITER LE SITE DE HENRY KRUTZEN  VISITER LA PAGE MYSPACE DE HENRY KRUTZEN  ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Andrey KolomyTZev a.k.a. StirliTZ. Né en 1959, il a d’abord, à partir de 1986,  expérimenté sur des synthés et des boites à rythmes dans un groupe de punk- reggae.
Refusant toute étiquette Andrey KolomyTZev se considère davantage comme un designer sonore ou un artiste travaillant sur le son que comme un vrai musicien. Il a rapidement développé un projet solo appelé StirliTZ.
StirliTZ propose une musique « ambient » expérimentale qu’on peut retrouver sur plusieurs CD. Il a aussi composé pour des documentaires.
Depuis 2004, Andrey KolomyTZev délaisse les enregistrements en studio pour se tourner vers le spectacle vivant à travers plusieurs projets multimédias d’art contemporain.

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brunk est Bert Vanden Berghe, un designer graphiste belge et musicien adepte du « homerecording » et du « DIY » (Do It Yourself). Né en 1977 il vit actuellement à Gand.
Jeune, il a étudié la guitare classique, mais il a développé des goûts très éclectiques, qui vont du rock au classique, du métal à l'électro, de l’ « ambient » à la musique concrète ...
brunk a démarré en 1998, avec l'intention d'enregistrer et d’expérimenter librement, sans restriction de style et sans direction prédéfinie.
Le feeling, le son, l’aspect expressif et spontané de la musique sont plus importants pour lui, que la technique ou la théorie. C'est pourquoi l'improvisation joue un rôle important dans sa musique, non seulement avec brunk, mais aussi dans la plupart de ses projets (comme invertebrata ou Passive Cable Theory), ou des projets dans lesquels il a été impliqué (comme Karen Eliot ou fi_ber).
Récemment, la musique de brunk s’est engagée vers une direction plus harmonique, calme et introspective, avec des influences allant de la  guitare acoustique (en picking classique) à la musique « ambient » avec parfois de bruyants éclats. Même si, bien sûr, avec brunk, l’expérimentation, l'avant-garde et l'humour ne sont jamais loin ...